Dessiner les ogives, méthode simple et précise

Que je sois en route pour dessiner, peindre, faire des photos ou tout simplement pour admirer les belles oeuvres architecturales, mon regard se porte souvent sur les ogives et les merveilleuses sensations qu’elles engendrent lorsqu’elles se succèdent, formant des voûtes sur croisées ou d’autres merveilles…

Si on veut dessiner une ogive assez large, c’est assez simple.
Voyez plutôt :

La méthode supra part d’un triangle dessiné au hasard.

Celle qui vient va partir de mesures précises qui elles vont déterminer le triangle, nuance !

raffraîchi le 13 janvier 2021

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Exposition au Mille-Club

Aquarelles | photos | Vente & location de tableaux | Workshops

paramétré pour 3 miniatures sur une ligne, si votre écran est réglé autrement merci de ré-ajuster en appuyant simultanément sur Ctrl et + (ou -) du pavé numérique.

La 25ème  fête de la myrtille organisée par la Maison des Jeunes et de la Culture, ayant provoqué une grande affluence à Dambach (photos & clip ici) je me suis associée aux écrivains/romanciers locaux pour exposer au MILLE-CLUB, un local moderne et agréable que j’ai beaucoup aimé.

Voici quelques photos en vrac de mon stand et de quelques visiteurs (certaines photos ont été floutées pour préserver leur anonymat)


Fort belle journée… mis à part le fait que des jeunes gens ont fait un gros plan de mes oeuvres pour sans doute les copier… Je rappelle donc ici que mes créations sont toutes sous copiryght et que toute indélicatesse sera sanctionnée par la Loi.

relu avec nostalgie le 13 janvier 2021

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LES RIVES DE L’ART 2013 | Saverne

Rives de l’Art est une expo organisée par une Association le long du canal plaisancier qui va de Lorraine jusqu’à Strasbourg. Voici des photos de ma participation à Saverne.

Trois jours de travail pour cette exposition dans une ville que j’adore…

Liste officielle des participants :

Pietro Addamiano, Christiane Allenbach, Carine Barrois, Bernard Bischoff, Sandrine Bodin, Coralie Clauss, Corinne Corsat, Hélène Cremmel, Nathalie Defert, Marie-Christine Depiesse, Brigitte Di Scala, Sophie Dietenbeck, Monique Douvier, Alain Drulang, Rachel Fallacara, Nathalie Garau, Florence Gaudry, Fabienne Giraud, Anne Hechinger, Lucie Hudakova, Otmar Kaiser, Michèle Kauffmann, Lucienne Keller, Jérôme Klingenfus, Émile Krieger, Anne Lehné, Hervé Libert, Alice Locoge, Claude Louis, Mario Marciano, Julie Martin, Laurence Massé, Wally Mazen, Christian Melaye, Pau Melkowski, Agnès Minni, Sylvie Morel, Carine Mougin, Karen Muller, Francine Nicolas, Claudine Oster, Liliane Peiffer, Valérie Pettinari, Nelly Pirany, Marie Piron, Arnaud Poiré, Claire Policella, Francis Porché, Nicole Reiter, Armand Renault, Anne Rettien, Christiane Roques, Pascal Schmidt, Marie-France Schneider, Fabio Secco, Sophie Secco, Mikael Tertrain, Sophie Bassot-Gross

VENDREDI > les préparatifs habituels, repérage et chargement…
voici quelques photos…


J’aime bien, dans les ports, entendre parler toutes les langues à la fois… ici des gens venus du Nord en conversation en anglais avec les autochtones… à noter… les vélos pour découvrir la région.

Un Artiste a intérêt à être matinal-de-nature car les jours d’expo sont interminables et le réveil sonne souvent entre quatre et cinq heures du matin… En effet, il faut compter un temps relativement long pour la mise en place du matériel, sans parler du trajet. Cela peut sembler paradoxal mais les expositions internationales sont plus faciles à organiser que les expositions régionales, au niveau intendance…

Côté pratique, idée géniale pour protéger les pieds des grilles : j’ai coupé le bout d’un gant-caoutchouc,et je les ai enfilés sur les pieds.

Pour être agréable aux visiteurs, on a mis en place des chaises invitant à la détente près de la buvette… Exemple :

PHOTOS DE SAMEDI :


L

Voici encore quelques-unes des cent photos prises dimanche… dont la plupart resteront privées. Journée riche en contacts intéressants et avec du beau temps. (le samedi, les rafales ont fait des dégâts chez beaucoup d’exposants)

Et voici encore Daïka… LOL

contenu relu le 13 janvier 2021

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NAMUR salon aquarelle | 13ème biennale 2013

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La 13ème Biennale internationale de l’aquarelle s’est tenue du 18 mai au 2 juin 2013 à Namur avec un invité d’honneur de renom, Pierre CHARIOT, qui a entr’autre enseigné l’aquarelle à la Reine Paola.

Des démonstrations permettent aux artistes avertis de glaner quelques conseils et aux autres de prendre goût à ce médium très technique. Cette biennale a retenu les démonstrateurs suivants, dont j’en connais personnellement quelques-uns :

Luc Drappier
Fernand Thienpondt
Laurence Ghislain
Annick Perreaux
Patrick Pichon
Aline Gason
Martine Van Parijs
Bernadette Galle
Guy Gruwier
Wen Ming Xin
Cao Bei An
Piet Van Aken
Christiane Javaux
Dominique Ampe
Stéphane Heurion
Jef Bertels
Slawa Prischedko
Laurie Breda
Jean-Luc Dossche pour W&N
+ école d’aquarelle de Namur

En matière de conférences le programme est aussi très intéressant avec : « de l’aquarelle aux pixels » (Mme Attout) et Soif d’abstraction, source d’inspiration (G. Schoumaker).

L’illustration n’est pas négligée non plus avec Monique Martin, (= Gabrielle Vincent)

Voici quelques photos en vrac



LE VERNISSAGE

Invitée au vernissage, j’ai visité l’expo dès vendredi avant l’arrivée en masse du public… mais bien sûr une deuxième visite s’imposait pour admirer toutes ces belles oeuvres. 

Voici l’un des articles de presse …


LES PRIX

Prix du Jury = AMPE DOMINIQUE avec une technique mixte !!!
Prix de la Ville de Namur = GOREAN Eugeniu
Prix de la Banque Degroof = WOON-HA

Vidéo http://youtu.be/_tp4ffqCbrM

La télévision belge en parle aussi…

Lien vers le travail de Prischdeko

Les photos de la ville et de l’ancienne ville de Namur sont ici.

Couverture presse : j’ai pu récupérer trois articles que voici  :

relu le 13 janiver 2021… séquence nostalgie

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Cycle de l’eau et astuces…

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En aquarelle, indépendamment du fait que parfois on mouille son papier pour le tendre… il y a des techniques qui exigent que l’on travaille sur papier plus ou moins humide…

Il y a différentes phases dans le séchage progressif du papier et selon l’effet voulu on choisira le moment précis où il faut apposer le médium.

Pour mieux comprendre, nous allons immédiatement passer à l’aspect « pratique« … Prenez un papier aquarelle et posez-y une goutte d’eau… et juste à côté, étalez de l’eau au pinceau sur la feuille…  On prend de l’eau du robinet, ou, encore mieux, de l’eau déminéralisée…

Voici en gros les phases que l’on peut observer :

(c’est bien plus technique que cela mais ceci n’est qu’une BASE, je développerai ultérieurement)

> EAU RESTANT EN SURFACE
> (certains Enseignants décomposent cette première étape
> en phase-lentille puis miroir mais je préfère simplifier, et
> résumer  par rapport à ce que j’ai appris chez différents peintres)

> BRILLANCE DU PAPIER
> Après l’inondation initiale, l’‘eau commence à rentrer dans le
> papier et sa structure apparaît.


> PAPIER MI-MAT
> Sur papier non-tendu seuls les creux restent humides.
> Sur papier tendu, l’eau commence à entrer en profondeur dans le papier.
> Le papier brille encore un peu.

 


> PAPIER MAT-FRAIS
>
La brillance est pratiquement inexistante à ce stade.


>

> PAPIER MAT-SEC
> En apparence le papier est sec mais au toucher on le sent
> encore humide.

> PAPIER SEC
> séchage complet à coeur.

Les débutants commencent généralement par apprendre la technique sèche, puis à mouiller une partie seulement de leur travail…

Mine de rien, l’aquarelle est très technique et ce n’est qu’au bout de quelques années d’intense pratique qu’on peut vraiment exploiter à fond les différentes techniques liées au cycle de l’eau.

Technique sèche

Elle correspond au papier tel qu’on l’achète.
La technique sèche est idéale pour les croquis aquarellés en outdoor et les motifs très dessinés par exemple les architectures. Ceux qui travaillent sur chevalet verront, en technique sèche, l’eau et le médium-transparent couler assez rapidement vers le bas du papier sans entrer en profondeur dans celui-ci. C’est également ainsi qu’il faut peindre un ciel avec forte pluie car ainsi le mouvement vertical est suggéré.
Exemple fait rapidement en gare de Bischwiller :

TECHNIQUE SEMI-HUMIDE

La technique semi-humide consiste à humidifier tout-ou-partie du papier avant d’appliquer son médium. Selon la qualité du papier, et du médium, les effets diffèrent. Cette technique permet des suprises souvent agréables au fil du travail et surtout de s’initier à la magie de la rencontre entre l’eau et le médium.

On peut combiner cette technique avec des réserves de blanc ou des réserves-par-non-mouillage-du-papier…

TECHNIQUE HUMIDE

La technique humide est idéale pour les pochades et travaux rapides. Le papier a été humidifié à l’éponge ou au pinceau avant application du médium au gros pinceau (large & plat pour le ciel, puis pinceau à lavis).

Pour un même travail, les effets seront différents selon que la papier soit légèrement incliné ou à plat.

Juste après l’application du médium, on peut faire quelques retraits à la carte bancaire. Pour les autres types de retrait, il convient d’attendre. Les différents types de retraits sont évoqués ici. Certains tableaux  « modernes » se font entièrement sans pinceau, par retraits à la CB, ou à l’essuie-tout.

Il faut aussi savoir qu’il y a le faux-humide… consistant à démarrer sur papier entièrement sec et à donner l’illusion d’un travail dans l’humide. Exemple :

Dans la manière de peindre classique, on commence par la technique humide pour l’arrière-plan et on travaille progressivement en avant plan au fur et à mesure de l’évaporation de l’eau.
Exemple :

TECHNIQUE HUMIDE SUR HUMIDE

Elle nécessite un papier mouillé à coeur donc trempé. Il faut éviter de le tremper dans une douche ou une baignoire et pour ceux qui manquent de place j’ai inventé un systéme génial.

Voici un tableau exécuté en humide-sur-humide :

et un autre, plus récent :

CHRISTIANE ALLENBACH SCHIRMECK 40 x 50 cm
Il n’y a pas une technique-meilleure-qu’une-autre, il faut les connaître toutes et parfois joyeusement les mélanger dans nos Créations.

Selon le papier utilisé, sa qualité d’encollage, son grammage et le traitement que vous lui ferez subir, le résultat sera différent. C’est pour cela que je recommande vivement de n’utiliser qu’une ou deux sortes de papier mais de qualité. On connaît ainsi son papier par coeur et on n’a plus à tâtonner.

Pour ceux qui n’ont pas encore essayé tous les papiers existant sur le marché et qui n’ont pas encore trouvé « LEUR » papier, voici une petite ASTUCE  qui facilitera grandement les opérations…

Gardez soigneusement vos chûtes de papier et rangez-les dans un TRIEUR en indiquant la marque et le grammage.

Lorsque vous commencerez une aquarelle, sélectionnez un petit papier de même qualité, et faites-lui subir exactement le même traitement que celui que vous appliquez au travail en cours…


Les « pros » ont quant à eux une très grande marge d’un côté au moins du travail et à chaque coup de pinceau donné sur le travail correspond un coup de pinceau sur la surface-essais.


C’est une astuce largement répandue,  que j’ai observée sur le terrain à la fois chez des pastellistes et des aquarellistes.


Elle s’avère particulièrement intéressante pour le travail par superposition de couches et permet d’éviter les mauvaises surprises mais aussi de tester le degré exact d’humidité du papier donc de trouver le meilleur moment pour intervenir selon l’effet souhaité
(exemple : gestion des auréoles)

… à vos pinceaux… et bons essais !

 ALLENBACH CHRISTIANE MODELE VIVANT 20 x 20 cm FEMME
Article actualisé le 13 janvier 2021

 

 

Cigognes à Reichshoffen

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 article actualisé le  03.03.2022

 


Cela faisait près de trente années que les cigognes, suite à un déménagement-de-nid par la municipalité, avaient déserté notre belle petite ville dont photos ici… La Cigogne est un oiseau de bonne augure, et les légendes locales lui attribuent parfois la fertilité mais aussi de réincarner les âmes des défunts… Il est dit qu’une femme souhaitant avoir un enfant doit poser un morceau de sucre sur le rebord de la fenêtre… et autrefois où beaucoup de sujets étaient tabous on avait recours à la cigogne pour expliquer les naissances aux enfants… De nos jours ceci n’est bien sûr plus nécessaire, mais dans tous les cas la cigogne, qui débarrasse les alentours d’habitants peu appréciés tels que reptiles et batraciens, a gardé son rôle de porte-bonheur. On considère qu’une ville n’est protégée et bénie que lorsqu’il y a un couple de cigognes qui y vit… Cela faisait si longtemps que je rêvais d’avoir de nouveau des cigognes dans notre ville… et j’avoue qu’en allant régulièrement admirer celles de Saverne et d’Oberbronn, je me suis mise à désirer ardemment qu’enfin un couple vienne se rétablir chez nous… Eh bien ça a marché… et même bien mieux qu’on n’eût pu penser car le nid si longtemps délaissé a été convoité d’emblée par deux couples et il y eut une bagarre pour décider qui resterait.

En 2017 elles sont revenues tôt : dès fin janvier !

CHRISTIANE ALLENBACH RETOUR CIGOGNES 2017 FIN JANV

 

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CHRISTIANE ALLEN_122CHRISTIANE ALLENBACH | CIGOGNES 2015


Pour ceux d'entre vous qui souhaiteraient immortaliser le retour des cigognes avec une aquarelle peinte par mes soins, me contacter svp... En voici un exemple :
 

ALLENBACH CHRISTIANE CIGOGNEAUXCe 1er août2016… surprise… une bonne quarantaines de cigognes se sont retrouvées en train de chercher leur nourriture sur le pré à côté de mon atelier-privé :

ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (12) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (13) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (14) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (15) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (16) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (17) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (18) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (19) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (20) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (21) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (24) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (25) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (26) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (27) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (28) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (29) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (30) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (31) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (32) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (33) Ci-dessous des cigognes rencontrées lors de mes différentes périgrinations… elles sont toutes belles… (je trierai les doublons plus tard… merci de votre compréhension. CHRISTIANE ALLENBACH MA CIGOGNE 2015 JUILLET 04 ALLENBACH CHRISTIANE CIGOGNES_2017_FEVR 07 ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (33) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (32) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (31) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (30) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (29) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (28) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (27) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (26) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (25) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (24) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (21) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (20) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (19) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (18) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (17) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (14) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (13) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42 (12) ALLENBACH CHRISTIANE 40 CIGOGNES_42

 

 

CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNES 2018CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNES 2020CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNE 2020CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNE AVANT DEPART MI AOUT 2020 CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNE AVANT DEPART MI AOUT 2020_

 CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNES_2021  CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNES 2021

Mars 2022… en me rendant à la gendarmerie de Reichshoffen, je me suis sentie un peu observée… haha… ils se sont dotés de deux nouvelles caméras que voici… Je les adore.

CHRISTIANE ALLENBACH CIGOGNES GENDARMERIE

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Publication dans une revue anglaise / française

Ich bin glücklich dass folgendes Kunstwerk von mir in einer bekannten Zeitschrift (virtuell & Papierausgaben) veröffentlicht wurde. | Je suis heureuse que l’une de mes créations ait été publiées dans une revue (virtuelle et papier) éditée en anglais et en français >  IMAGine.

L’Art pour moi c’est certes de traduire la beauté mais aussi de m’impliquer concrètement pour la Bonté… et par voie de conséquence de dénoncer tout ce qui s’y oppose. Les n° sensibles de cette revue sont demandés dans une cinquantaine de pays… c’est dire l’impact que peut avoir une action positive…

Partie d’une série de croquis assez « hard » j’ai ensuite fait le choix de mettre sur papier plutôt l’idéal à atteindre… égalité et parité (c’était le sujet de ce numéro spécial. Toute ressemblance avec d’autre créations est fortuite bien que les faits-divers ayant été à l’origine du numéro spécial soient hélas réels et inadmissibles…)

Voici quelques petits extraits de la revue… et en dessous la marche à suivre pour la découvrir plus amplement.

Le site-source www.imagine-imagine.com semble en 2021 avoir changé d’orientation (desing intérieur) donc j’ai enlevé le lien y afférent.

page actualisée en janvier 2021

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Dessin… arche cintré | arc plein cintre


(mise à jour : juillet 2015)

En outdoor, beaucoup font l’impasse sur l’architecture, ou alors choisissent la technique à la mode du flou-artistique ou travail dans le très mouillé. C’est un petit peu dommage car chaque élément architectural mérite notre attention voire notre admiration. Le travail des Anciens était en effet incomparable, et aucune construction moderne ne pourra jamais rivaliser avec les anciens Edifices. De ce fait j’estime qu’un Artiste ne doit pas se contenter de traduire de manière imprécise les détails d’architecture mais la raisonner voir se documenter avant tout travail sur le terrain. Et bien sûr, dans un premier temps raisonner la perspective et ne traduire l’émotion qu’ensuite.

L’un des anciens Bâtisseurs (de nos jours on dirait Architecte… ) que j’admire le plus est Brunelleschi. Il a su concilier l’innovation avec les traditions et nous laisse des constructions étonnantes. Techniquement inégalable et inégalé, il tenait bien sûr compte du nombre d’Or que nous Artistes tentons de respecter autant que faire se peut dans nos travaux.

Ne pouvant plus voyager, je n’ai d’autre alternative que de m’intéresser à l’architecture locale qui est bien moins intéressante… mais qui permet tout de même d’asseoir ses notions de perspective… Ainsi dans un déplacement régional récent, je fus amenée à m’intéressée à un arche plein cintre que voici. L’important est de dessiner aussi les parties non visibles à l’oeil nu. Pour l’Architecture, contrairement à un paysage ou à des fleurs, on ne peut pas se contenter d’utiliser uniquement les informations visuelles…

Il est bon également de comprendre que dans ce type de construction, le Constructeur doit affronter à la fois deux obstacles importants : la compression par le haut qui provoque un écartement, et la poussée latérale qui crée une rupture à l’écartement… priorité étant accordé à cette dernière sous peine de fissures ultérieures. La construction sans cintrage est possible mais néanmoins laborieuse.

REICHSHOFFEN | ALSACE | DESSIN | PEINTUREMAMANLOTUS | CHRISTIANE ALLENBACH | ARC PLEIN CINTRE CROQUISNormalement en outdoor je ne dessine qu’au crayon (à moins de travailler directement à l’encre) mais là j’ai voulu que le croquis soit lisible. Les pointillés désignent les informations non-visuelles. Voici une pochade faite sur base de ce dessin :

REICHSHOFFEN | ALSACE | ETUDE | PEINTUREMAMANLOTUS | CHRISTIANE ALLENBACH | ARC PLEIN CINTREUn arc plein-ceintre se distingue par le fait que la courbe décrite par l’arc forme exactement un DEMI-CERCLE : en clair, son élevation est égale à son rayon.

Il existe cependant de nombreuses varitétés d’arc / arches…
Exemples :

  • lorsque la hauteur du cintre est PLUS GRANDE que le rayon (moitié du diamètre) on dit qu’il est outrepassé… mais ATTENTION… ce n’est que dans les architectures orientales que les arcs outrepassés comportent une « rentrée » donnant l’impression d’un fer à cheval… à l’origine le terme d’outrepassé concernait uniquement un cintre plus haut que le rayon…
  • lorsque la hauteur du ceintre est inférieure au rayon, on dit qu’il est surbaissé (on peut aussi dire en anse de panier car honnêtement ce n’est pas très beau). Pour le dessiner, on représentera alors juste la moitié d’un OVALE au lieu la moitié d’un cercle… Il est généralement bombé, mais peut aussi être construit en ogive.
  • Il existe évidemment des arcs à double voûte… notamment en Egypte tout comme on trouve des pleins-cintres-en-encorbellement… mais pour la plupart des artistes, développer serait inutile…

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Mein Pferd… mon CHEVAL

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actualisé le  01.07.21.

 


 

en passant à WordPress, mon récit, publié jadis dans Cheval Magazine, s'est perdu... le voici... pour mes amis... écrit par mon 2ème cheval...

 

J’étais un cheval parmi tant d’autres…

 

Permettez-moi de me présenter : je suis un malicieux petit alezan.

Né en région parisienne, j’ai passé quelques « lunes » à gambader et échanger des tendresses avec maman, puis on m’a inculqué les élémentaires notions de politesse envers les bipèdes.

Cela n’a pas été facile, car j’ai plus d’un tour dans mon sac. Une fois en âge d’aller travailler, on m’a fait voyager un peu partout, là où il y avait des concours intéressants.

J’en ai vu, des obstacles. Jusqu’au moment où j’ai commencé à ne plus toujours faire ce qu’on attendait de moi…

ALSACE | REICHSHOFFEN | PEINTUREMAMANLOTUS | CHRISTIANE ALLENBACH |CHEVAL ARABE

Un jour, grâce à celui qui m’arrangeait les sabots, j’ai été amené là où montait celle qui allait devenir ma « maîtresse-fournisseur-de-récompenses » et qui désormais, allait devoir faire de sacrées économies.

Lorsque je suis arrivé, il faisait froid, et tout était blanc dehors. BRRR… Dès que je respirais fort, du givre se collait à ma barbe, et, pour m’en débarrasser, je devais frotter mon nez contre l’épaule de ma cavalière. Cavalière qui, dès le tour d’essai, fit trois jolis vols planés, car j’avais envie de frimer un peu.

Pourtant, elle ne s’est pas découragée, et venait me monter chaque jour. Un peu timide au début, j’ai vite pris l’habitude de fourrer mon nez dans sa crinière brune dès qu’elle arrivait. Cà la faisait bien rire.

Et moi, j’étais « aux anges » : jamais quelqu’un n’était resté aussi longtemps avec moi en-dehors du « travail ».
Tantôt elle me contemplait tout en me flattant l’encolure (hm !) tantôt on jouait : j’ai, entr’autres, appris à lui ôter son chapeau, à lui dire bonjour en donnant mon antérieur.
Quand je faisais mine de comprendre le truc, je recevais carottes et félicitations.

 

Au travail aussi, nous fîmes plus ample connaissance, mais je lançais toujours des ruades à droite et à gauche, quitte à être grondé.
Il est vrai que la croûte que j’avais depuis longtemps au garrot me démangeait drôlement. Elle a fini par s’arracher, car je me démenais comme un fou.
Dur, dur, pour ma maîtresse, de s’approcher de moi pour me soigner.
Les gros-mots s’étant avérés inopérants, elle eut recours à quelques bonnes paroles.

Pendant toute une lune, elle me fit faire de l’exercice sans grimper sur mon dos. Des fois, on allait au manège, où elle me laissait galoper mais pas me rouler par terre. Des fois, on faisait de longs trottings en forêt, dans la neige, elle devant et moi derrière. On franchissait même les petits obstacles du cross de cette façon, et, au bout d’une heure, elle soufflait plus fort que moi. Je vous assure que, ma convalescence terminée, elle était un peu plus légère, « ma » cavalière.

Lorsque les arbres ont de nouveau commencé à avoir des feuilles, on a fait de très belles promenades. Au début, j’avais mes propres idées quant à l’itinéraire et aux allures, mais, au bout de quelques sorties, j’ai compris qu’il valait mieux suivre les indications qui m’étaient données. J’ai ainsi appris à économiser mon énergie lors des randonnées, quitte à faire quelque facétie le lendemain, quand elle me croyait fatigué. Vous savez, j’ai plein d’idées, sous mon fin toupet couleur miel et renard.

Lorsqu’il a commencé à faire très chaud, je suis allé en villégiature dans un charmant petit village, tout près du domicile de ma maîtresse. Ah ! Si vous m’aviez vu lui faire découvrir le lever du soleil, l’accueillir d’un hennissement que d’ailleurs elle reconnaîtrait entre mille, galoper ventre à terre en forêt, en frôlant les feuilles toutes mouillées (douche gratuite). Si vous m’aviez vu, plonger le nez dans l’herbe haute et parfumée, me rouler, les quatre fers en l’air, juste après un pansage minutieux, et me relever en décrochant une ruade… Cela fait du bien au moral, un petit changement de décor. La preuve, c’est que j’avais de l’énergie à revendre. Moi qui d’habitude arbore un air calme, je ronflais doucement, en écarquillant les naseaux, dressant fièrement mes petites oreilles, prêt à bondir en avant…

CHRISTIANE ALLENBACH | ESQUISSE CHEVAL

CHRISTIANE ALLENBACH | CHEVAL NIUn jour, lors de ma traditionnelle douche du samedi, j’ai pris mes sabots à mon cou, cassant un énorme pot de fleurs. Et j’ai fait courir ma maîtresse, histoire de lui causer de petites émotions.
Naturellement, nous avions en–suite du coton dans les jambes. Rien de tel qu’un petit repas pour se remettre d’aplomb : carottes et pommes-de-terre + céréales d’un côté, sandwich au fromage de l’autre (hennissement : « dis, tu me fais goûter un peu du tien » ?)

Maintenant, les jours commencent à se raccourcir, les arbres perdent leurs feuilles. Rien ne paraît avoir changé et pourtant tout a changé.

Je suis triste.
A l’écurie, on murmure que je ne suis plus « le sien ».
Elle vient souvent me rendre visite, mais je sens qu’elle n’est plus la même. Je ne comprends pas. J’étais pourtant très gentil, l’autre jour, quand nous avons fait notre dernier cross : j’ai donné mon maximum sans être sollicité. Ensuite, petit galop ventre-à-terre, puis pas, retour aux écuries, douche des pieds et… carottes. Mais, après avoir dévoré ma récompense, j’ai eu à lécher l’eau qui ruisselait sur ses joues. Bizarre…

Pourquoi réagit-elle à peine lorsque je viens mettre ma tête sous son bras, ou lorsque je demande à être caressé ?
Pourquoi me tend-elle maintenant les carottes de loin, et pas comme d’habitude, tout près et la main sur ma nuque ? Elle qui aurait crevé les yeux à celui qui se serait permis des familiarités avec moi, pourquoi laisse-t-elle maintenant d’autres me faire travailler et pourquoi ses yeux brillent-ils tellement lors–qu’elle me regarde ?

Pourquoi vient-elle parfois en clopinant, carotte à la main, alors que çà fait une éternité que je ne l’ai pas fait tomber à terre ?

Sous mon front, les idées se bousculent, mais j’ai pris l’habitude de voir d’autres personnes s’occuper de moi.
J’ai compris que désormais, ma vie serait réglée comme du papier à musique, au rythme du club.
Jamais plus, « elle » ne me fera une surprise en venant me voir à trois heures et de mie du matin, ou à neuf heures du soir…
Jamais plus, je n’aurai la joie de lui faire une démonstration de trot allongé en pleine promenade.
Jamais plus, je ne pourrai lui demander (en tournant une oreille) de chasser une mouche sur ma croupe.

Non, nous n’irons plus à travers bois à l’affût d’un groupe de chevreuils, nous ne guetterons plus l’envol ou d’une buse.
Nous ne ferons plus la course avec un adversaire invisible, nous n’irons plus rendre visite aux vaches du village voisin, avec lesquelles j’aimais tant manger un brin d’herbe.

 

Jamais plus, on n’aura l’occasion de s’entr’aider dans les passages difficiles…
Dorénavant, il va falloir suivre les sentiers battus, et rester derrière les autres…

J’étais un cheval parmi tant d’autres, je suis devenu « le sien » et maintenant je suis à nouveau un cheval parmi tant d’autres.

Je survivrai, je le sais, mais « elle », survivra-t-elle ?

nb. je ne mets pas en ligne la seule photo que j’ai où je me trouve sur mon 2ème cheval… j’y tiens trop… merci de votre compréhension. Maintenant… je ne monte plus mais je les peins.

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